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Les années passent et les albums relevés, pimentés, au scénario étonnant et divertissant s'éloignent avec le temps...
J'a reçu avec plaisir ce tome 62 à Noël. J'ai attendu d'être au calme pour prendre, à 33 ans bientôt, cet album entre les mains et l'ouvrir avec plaisir.
Et j'ai attendu le scénario...attendu...attendu...Car à part une énième embrouille sans relief au départ et un chien qui est dans les pattes d'Arabesque, rien...de chez rien.
Où sont les allusions comiques? Ou sont les répliques acides, drôles et bien placées de Blutch? Je ne les vois pas.
Heureusement, il y a les pages 8 à 10 sur Lee, très intéressantes...Pour le reste, ça tourne en rond.
Il faut attendre la page 17 pour l'intrigue commence enfin ! 17 pages inintéressantes à part Lee donc et la case de danse de la page 14.
Je commence à m'énerver...Et là MIRACLE! OUI OUI OUI Cornelius part seul en mission, super génial, Blutch reste au camp ou le suit discrètement......Et non, il arrive juste pour le chien, totalement incohérent dans la trame des Tuniques Bleues.
Ils tombent donc sur Cancrelat, où il faut 13 cases pour avoir qui est ce mystérieux confédéré et où seul le chien a un intérêt. Le suspens est toutefois bien tenu avec le chapeau enlevé à Cancrelat, histoire d'éviter de le reconnaître dès la 1ère case.
Mais là encore, ce Cancrelat est mou, ne dit rien, ne provoque pas, n'est pas une tête à claque, cela en devient risible tellement ce n'est pas drôle 
Ensuite bien sûr les Bleues se font avoir avec une histoire de plan dévoilé/inversé, comme ce fut déjà le cas dans Drummer Boy ou Les Hommes de paille (c'est dingue, 3 fois que Alexander se fait avoir sur le même thème)!
Ensuite une charge où on se débarrasse du chien (et pourquoi ne pas le garder dans un épisode suivant au moins? Il y avait tellement à faire avec Arabesque!
Bref mes héros se meurent dans l'ennui, après Franklin, Carte Blanche, les Bleues au vert, Dent pour dent etc...
Je crois que je vais arrêter d'augmenter ma collection, au bout d'un moment il faut savoir dire stop. Où sont les histoires pleines d'envie du David, Blue Retro, L'or du Québec, La Rosse de Bantry ou Emeutes à New York?
Je ne parle là que du scénario bien sûr, rien à redire sur le dessin toujours magnifique, mais je me demande si M.Lambil ne se demande pas comment remplir ses cases tant le scénario qu'on lui donne est maigre.
Triste, très triste de cet album, le 63 je réfléchirai à deux fois avant de l'avoir dans ma bibliothèque
Comme d'habitude, sublimes planches, j'aime bien cet aperçu car je trouve que ça faisait longtemps qu'on avait pas mis des cases basées sur autre chose que nos 2 compères.
C'est rafraîchissant, ça change.
Maintenant à chaque fois ce n'est pas le dessin toujours superbe qu'on attend avec un peu d'anxiété mais bien le scénario de M. Cauvin!
Des infos sur l'histoire d'ailleurs? Je n'ai rien trouvé sur le blog de Raoul !
Moi aussi je l'ai eu sous le sapin, et comme d'habitude je commence à lire avec avidité cette histoire de soldat/civil noir...Et patatras, ce personnage disparaît à la case 11A :s
Bon, le soldat blanc déguisé en noir, on ne l'avait pas vu (ou très rarement) donc ça peut passer...L'idée d'un Alexander dépassé par les événements car ne pouvant rien commander est très bon...
Et puis arrive la 1ère case de la planche 17A et là, terminé, j'ai compris. Je trouve ce personnage très efféminé, et quand j'ai associé au fait qu'il ne voulait pas se faire ausculter, j'ai compris de suite...Et PAF, retour à "des bleues dans la gadoue."
En fait, il y a cette volonté de s'en détacher (R.Cauvin lirait-il les commentaires désastreux du Tome 60...peut-être 
) et donc on lit, on attend le départ des 2 héros pour aider ce soldat...Et non, rien, on a plusieurs planches pour les voir chercher partout, ça n'avance pas, et il faut une histoire de médecin et de paludisme...
C'était compliqué de faire partir les héros en route vers McCléllan (qui serait, à ce moment là, beaucoup plus loin) et les faire avoir des quiprocos sur Franklin qui essaye de les semer, Blutch qui l'aide ou qui se fait la malle dans l'autre sens et Chesterfield qui fulmine au milieu?
Là, Blutch découvre le secret, ne dit rien au sergent et fait pour aider Franklin à partir...
Bref, pour moi des trucs simples mais bon, R.Cauvin doit sortir un album par an, quitte à raconter une histoire vide, c'est triste.
Quand j'ai relu "l'or du Québec", "Bull Run", "La Rose de Bantry" etc...Quel plaisir pour les yeux (et le cerveau!)
Est-ce que ce serait une honte si R.Cauvin se faisait aider dans le scénario? Pas du tout !!!!!!!!!!!!!
Et bien moi je me suis fait bêtement spoilié...sur ce site!
En cliquant sur la page principale pour regarder le nouvel album, je pensais voir un résumé rapide (un peu comme une bande annonce)...et en fait on en sait trop dès les premières lignes, je trouve que votre site est "trop" complet sur les résumés d'album.
C'était à moi d'arrêter de lire bien sûr, mais pourquoi ne pas arrêter au bout de 3-4 lignes max?
En tout cas j'espère que vous n'en avez pas trop dit, j'ai hâte de l'acheter ce numéro 61
Alors là, ça m'intéresse, je sens qu'on va vite oublier la déception de l'album 60!
Cette couverture est magnifique encore une fois (bravo Lambil !!), et on retrouve un personnage qui paraît de couleur noire (haaaaa cet excellent album Black Face )) ), je trouve que pour une Guerre de Sécession, on n'en voit pas assez.
Ce soldat donc (confédéré?, déserteur?) semble être recherché par nos compères, qui ont plus pitié que peur (quoique l'arme du sergent...).
Bref, cela augure du grand plaisir, vivement le 10 novembre !!
Et bien moi, autant je suis content d'un nouvel album, autant là je retrouve "En avant l'amnésique", ça me choque un peu.
On inverse les personnages et on reprend les petites allusions aux 59 albums précédents?
Je ne l'espère pas, je pense que pour la 1ère fois je vais feuilleter l'album avant de l'acheter, d'habitude j'achète les yeux fermés mais là...Je suis dubitatif.
Rumberley à fond !!
Certes il est moins drôle que El Padre mais comme je l'avais déjà dit, l'arrivée du mexicain et de l'indien lasse au fil de l'album surtout qu'ils arrivent...quand on s'y attend
Par contre, Rumberley, magnifique acte de courage de blessés dans une ville qui se détruit petit à petit par les combats sous un dessin magnifique est unique en son genre dans la saga TB.
Donc je vote pour Rumberley
Salut à tous,
Thibault, de Rennes, 28 ans.
Mon premier album des tuniques Bleues a été acheté par hasard avec mon frère, je devais avoir 10 ans environ. C'était "les Bleues en folie".
J'ai tout de suite accroché et j'ai acheté rapidement les albums, au bon vouloir de mes parents pendant longtemps !
J'ai désormais toute la collection.
Je n'ai pas vraiment d'album préféré mais j'aime quand l'intrigue va assez loin comme dans "Vertes Années", "L'or du Québec" etc...
Sinon merci pour ce forum clair et précis, dommage qu'on ne puisse pas voir d'infos sur les autres membres ni éditer son propre message (du moins je ne crois pas)
Alors que j'ai tous les albums en version "classique", j'ai décidé d'acheter les albums 45 à 48 en version Rombaldi car, à part "Emeutes à New York", je trouvais les 3 autres peu intéressants.
Du coup, par souci d'économie, j'ai acheté cette version qui fait un peu "tâche" dans ma collection blanche mais quand on voit les ajouts à l'intérieur des Rombaldi, je me dis que j'aurai du tous les acheter dans cette version 
Et depuis que Lambil a dédicacé ce Rombaldi avec un petit Blutch, il a plus de valeurs que tous les autres
Merci pour toutes les infos sur ce nouvel album, c'est sympa de les partager !
J'ai hâte de pouvoir le lire, surtout que les premiers avis ont l'air intéressant.
Je trouve qu'on a de meilleurs albums depuis 2-3 numéros et ça fait plaisir !
Il n'y a plus qu'à patienter encore un peu moins de 3 mois
Je n'ai pas participé au reste du concours (dommage pour moi !!) mais tant pis, si je peux je participe ici.
Je vote pour "Les Bleus dans la gadoue" car j'ai adoré les couleurs avec la gadoue, assez bizarre tout au long de l'album mais prenant je trouve.
Ensuite, l'histoire de l'espionne est bien trouvée et on suit l'intrigue pus facilement que pour "El Padre" où les frasques du mexicain et de l'indien sont usantes à la fin
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Les Tuniques Bleues Par Lambil-Cauvin et Salvérius-©Dupuis,
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